Ce qui est impressionnant c’est que la bonne humeur change notre perception du monde. Un même décor, une même situation peut alors être traité de manière complètement différente selon votre état d’esprit.

Deux hormones bien connues sont à l’origine de ce processus : la dopamine et la sérotonine.

Quand elles travaillent de concert, vous vous sentez bien, votre cerveau passe en mode « exploration » comme si vous preniez une photo en grand angle. Vous êtes curieux, inventifs, et vous découvrez des choses nouvelles et sous une autre forme ; ce qui vous « dope » en quelque sorte.

En mode grognon, au contraire c’est comme si votre appareil ne faisait que des selfies : introverti, dans la rumination, vous n’êtes pas apte à voir ce qui se passe autour de vous et pourrait vous faire sortir de ce terrain négatif.

Ce qui est maintenant avéré c’est que nos humeurs se concrétisent selon un équilibre corps/esprit.

Chaque action consomme de l’énergie que le cerveau doit équilibrer avec ce que le corps est capable de gérer. Il faut compenser les pertes par des gains et malheureusement nous poussons souvent trop loin la consommation par rapport à ce que nous possédons sur notre compte physique.

Si l’équilibre se maintient (en faisant attention à se « remplir » suffisamment de bonnes ondes pour compenser tout ce qui nous coûte), la sensation de « bonne humeur » se maintient.

Autrement, les remous arrivent et il est plus compliqué de traiter les informations perçues plus rapidement comme négatives augmentant alors la pénibilité de l’action à mener.

Etre bloqué(e) dans le mécanisme du « mal être » n’est pas un état figé, de nombreuses techniquesexistent pour retrouver le sourire.

Vous voulez en savoir plus ? : [https://www.huffingtonpost.fr/entry/comment-agir-sur-le-cerveau-pour-etre-de-bonne-humeur_fr_60dde4c3e4b0ddef8b0dd383]

Et venons en parler ensemble sur temps2psy.fr