Cette théorie innovante née en Australie part du principe que notre alimentation a un vrai impact sur les troubles psys et notamment sur les symptômes dépressifs.
Non seulement ce qu’on mange joue sur notre santé physique mais plus notre régime alimentaire est équilibré, plus les risques de développer des maladies mentales sont moindres.
La première étude baptisée « Smiles » parue en 2017, prouve que le maintien d'un microbiote sain (symbiose) entraîne différentes sécrétions qui finissent au niveau cérébral en sérotonine, hormone de la bonne humeur Plus on mange de manière diversifiée, plus les fibres que l'on consomme sont variées et plus on enrichit son microbiote et les fonctions inhérentes.
Encore une bonne raison de prendre soin de soi à l’approche de l’automne et d’une éventuelle dépression saisonnière.
Pour en savoir plus : https://www.fondation-fondamental.org/plus-vous-ameliorez-votre-alimentation-plus-vous-en-retirez-des-avantages-pour-votre-sante-mentale
